De nombreuses personnes qui portent le titre de « sexologue » ne sont pas forcément qualifiées pour exercer cette profession. Le métier de sexothérapeute ne connait pas une réglementation et n’est ni protégés par la législation. Cette non règlementation implique que tout le monde peut s’autoproclamer sexothérapeute du jour au lendemain sans avoir acquis une formation quelconque. Mais cela n’exclut pas que certains praticiens s’adonnent à des formations. Pourtant, ces médecins de la sexualité sont supposés effectuer une formation aussi rigoureuse telle celle des médecins généralistes. Sur le site http://www.sexologue-uccle.be ,il est possible de se faire consulter par un véritable professionnel de la libido. Cet article est fait pour éclairer la situation en mettant en lumière les formations que doivent suivre ces sexologues.
Les formations pour devenir sexologue
Les sexologues sont des personnes qui accompagnent les couples dans leur vie sexuelle. Pour devenir sexologue, de nombreuses formations sont permises dans ce domaine de la santé. Tout comme les médecins généralistes spécialistes dans les domaines suivant psychiatrie, gynécologie, urologie, ou gastro entérologie, etc., la sexologie est donc une de ses spécialités dont la formation initiale est la médecine.
Pour devenir sexologue, il faut avoir fait des études de sexologie clinique dans les facultés de médecine. Cette profession exige un Diplôme d’Université ç la fin de la formation, qui dure près de 3 ans, selon les facultés. Pour montrer qu’ils ont acquis une connaissance suffisante pour exercer, les sexologues soutiennent leur mémoire, et sont sanctionnés d’un diplôme. C’est donc ce document qui leur donne le droit d’exercer.
Outre la formation en facultés, il est possible de faire des formations privées en sexologie. Le hic avec ce cycle d’apprentissage est que son diplôme n’est pas reconnu et donc invalide. Ces formations sont en fait l’œuvre des sexologues qui proposent une formation en sexologie dans leur propre cabinet. Il est clair que les formations privées ne sont pas mauvaises, mais les apprenants ne disposent pas d’un diplôme reconnu.